Ce sujet a 23 réponses, 9 participants et a été mis à jour par  Jean-Marc Savoye, il y a 11 ans et 7 mois.

15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 24)
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  • #5647

    Thierry Dauga
    Participant

    Bonjour,
    Je suis en cours de préparation de mon LO et je dois affilier des partenaires dans mon domaine (la musique, sonorisation et vidéo). Je dois leur proposer, outre l’envoi d’un “cadeau” pour générer des prospects, un partenariat pour les ventes réalisées auprès de leurs clients.
    Ils deviennent “prescripteurs” de mes formations, et je souhaite les commissionner.
    Quelqu’un peut-il me dire quel type de contrat établir ?
    Avez-vous des exemples ?
    Dois-je m’adresser à un juriste ou un avocat ?
    Y’a-t’il des contrats “type” à adapter à mon projet ?
    Avez-vous des conseils sur ce sujet ?
    J’ai beaucoup de questions… Je ne veux pas me planter sur ces détails certes importants …
    Merci par avance de vos suggestions.

    #5756

    Fabrice Mouchain
    Participant

    Salut Thierry

    Nous sommes un peu dan la même démarche puisque je posai la question sur le contrat qu’il est possible de mettre en place avec un client (pour la vente de bijoux).

    Donc je suis aussi intéressé.
    Mon expert-comptable m’a proposé la rédaction d’un tel contrat (via leur service juridique) pour 1500 € et il semble que ce soit les prix du marché.
    Tu peux lire sa réponse (il s’agit de François), sur mon sujet Lancement pour vente de bijoux.

    Je vais l’invité à venir nous répondre ici. Si il consent à un échange sur skype est-ce que cela t’intéresserai ?

    A bientôt

    #5771

    Fabrice Mouchain
    Participant

    J’ai trouvé des contrats type pour affiliation. Je vais les mettre sur le Google Doc Lancements Orchestrés – outils et réflexions

    #5782

    Arthur MENARD
    Participant

    Salut Thierry,

    Si c’est un produit virtuel que tu vends, tu n’as pas besoin de contrat si tu utilises ClickBank par contre.

    #5783

    Fabrice Mouchain
    Participant

    Est-ce que tu pourrais développer Arthur ?
    Les contrats me semblent être une base de travail dans tous les cas de figures. Pourquoi avec des produits virtuels, un accord n’est pas utile ? Qu’est-ce qui fait la différence avec un produit physique ?

    #5902

    Arthur MENARD
    Participant

    Salut Fabrice,

    Pour vendre le produit de quelqu’un sur ClickBank, il me semble qu’il est nécessaire de s’inscrire en temps qu’affilié pour le produit en question.

    Du coup ça fait office d’accord justement ;)

    #5928

    Jean-Louis Boissier
    Participant

    Bonjour à tous,

    Je viens de lire vos commentaires sur le sujet. Pour ma part, je vais proposer à des partenaires de devenir des distributeurs des produits BIO que je vais proposer prochainement.

    J’avais l’intention de proposer aux partenaires qui n’ont pas de statut d’agent commercial, ni de statut de gérant d’entreprise, ni de statut auto entrepreneur, de souscrire à un statut VDI. L’avantage de ce statut c’est que vous pouvez toucher un public assez large. Ces personnes peuvent être VDI tout en étant salarié à côté et sans avoir à payer le RSI.

    Il existe trois types de contrat
    1. VDI Mandataire
    Ce statut permet d’être mandaté par l’entreprise pour commercialiser ses produits; en contrepartie, le partenaire reçoit une commission sur le chiffre d’affaire qu’il a réalisé.
    2. VDI acheteur-revendeur
    Le partenaire bénéficie de remises quantitatives et qui permet ainsi de revendre au prix qu’il souhaite (dans la limite d’un prix maximum conseillé par l’entreprise), la différence entre le prix d’achat et le prix de vente représente les gains.
    3. Contrat de courtier
    Il est très peu utilisé et s’applique uniquement dans le business lié à l’immobilier

    Vous pouvez aussi consulter le site http://www.fvd.fr. C’est le site de la fédération de la vente directe; il est rempli d’informations utiles.

    Pour revenir sur le commentaire de Thierry, si je devais créer une bijouterie aujourd’hui, je serais vdi en bijoux, pour tester mes compétences avant d’ouvrir ma boutique.

    Jean Louis

    #5972

    Jean-Paul
    Participant

    Fabrice, bonjour, cette question de contrat me préoccupe aussi, comment peut on accéder aux contrats types sur google doc stp ?

    #5973

    Jean-Paul
    Participant

    Dans le même ordre d’idées, il y a d’autres questions qui se posent auxquelles Sébastien n’a pas (encore ?) répondu dans la formation :
    - quel type d’email envoyer à un partenaire potentiel pour un premier contact ?
    - quelles infos lui fournir ensuite ?
    - jusqu’où l’aider à faire son boulot de partenaire ?
    - quel taux de commission proposer ?
    - est il possible d’avoir des taux différenciés en fonction des partenaires ? Comment gérer ensuite cela techniquement de façon automatique ?
    - quel système technique utiliser pour qu’il soit certain de toucher sa commission ?
    - quand verser la commission ? A l’issue de la période de garantie ? Et si cette garantie est d’un an ? comment le motiver ?
    - comment entretenir la relation dans le temps avec les partenaires ?

    Quelqu’un a t il des réponses sur ces point ?

    #5974

    Jean-Louis Boissier
    Participant

    Bonjour,

    Voici ma vision sur vos différentes questions :

    1. Concernant le mail à envoyer à un partenaire, j’applique une méthode très simple ou j’explique ma spécialité et ensuite j’essaye d’accrocher le lecteur en lui présentant ce que je pourrai développer à ces côtés pour booster un business commun. Ensuite je rentre en contact téléphonique avec ce partenaire pour décrocher une visoconférence ou un RDV physique.

    2. Concernant les informations à lui fournir, là tout dépend ce que vous proposez. Si c’est la vente d’un produit ou d’une service, il faut lui faire un power point qui présente les avantages bénéfices de votre produit ou service. Maximun 5 à 6 diapositives !

    3. On n’aide pas un partenaire à faire de la duplication de son affaire ! Le partenaire doit être motivé pour travailler avec vous. Vous vous appercevrez rapidement que sur 10 partenaires, seul un ou deux jouent le jeu. Mais il faut mieux deux partenaires motivés que 10 qui ne font rien.

    4. Dans le vente en partenariat, il n’y a pas de règle de commissionnement. Moi personnellement j’applique en 20 et 30 % de reversement de commission.

    5. Dans toute politique de partenariat, il est impératif d’appliquer le même taux de rémunération pour tous vos partenaires sinon vous allez créer des conflits. De plus il est plus simple de gérer son réseau si les règles sont les mêmes pour tous. Techniquement sur le suivi, si votre affaire démarre vous pouvez créer un tableau de reporting business sous Excel avec menu déroulant. Simple et efficace, sinon après faut investir dans un CRM mais cela coûte de l’argent !

    6. Jusqu’à 20 partenaires, vous n’avez pas besoin d’un CRM pour gérer le suivi des commissions. Faite comme moi créer des supports word que vous faite remplir à vos partenaires dès qu’ils vendent un produit ou service pour traitement par la suite. Une règle, imposé un paiement une fois par mois à M+1 le 10 du mois pour laisser le temps de traiter les primes.

    7. La commision moi je la paye quand j’ai l’assurance que le client m’a bien payé et attention si vous vendez à un particulier faut attendre 7 jours. Donc je vous conseille de planifier le 10 de chaque mois de payer les affaires du mois écoulé en groupées.

    8. Par expérience, une relation avec un partenaire c’est comme un client. Il faut l’appeller régulièrement, s’assurer que tout va bien car l’objectif c’est que ce partenaire devienne un ami et plus un partenaire annonyme !

    Voilà ma vision sur ces questions posées, il y a sûrement d’autres sujets à développer mais je pense avoir répondu dans les grandes lignes.

    Jean Louis

    #6011

    Fabrice Mouchain
    Participant

    @Jean-Paul:
    Sur le Google Doc, tu peux cliquer sur la cellule où se trouve le lien du contrat type. Cela ouvre en dessous une petite fenêtre qui permet de suivre le lien (en ouvrant un nouvel onglet dans l’explorateur).
    Tu peux aussi choisir de copier l’url pour la coller dans ton navigateur directement.

    Bizarre mais cette page du forum fait bipper mon antivirus : cheval de troie JS/Iframe.EY !!!

    Pour tes autres question, j’ai lu rapidement les réponses apportées. Je pense aussi qu’une rémunération uniforme est importante entre les partenaires.

    Comment entrer en contact ?
    Sébastien conseille de prendre contact en intervenant sur le blog ou le forum du partenaire, de façon pertinente afin de “se faire remarquer” pour son expertise. Ensuite, il sera plus facile de faire un courrier direct au potentiel partenaire.
    Je pense qu’il est important de faire une “offre irrésistible” à cette personne pour qu’elle est envie de devenir ton partenaire.

    Les points les plus évidents sont :
    - de lui proposer d’offrir un cadeau gratuit à sa mailing list (le tien)
    - de lui proposer un article de qualité sur un sujet (article invité)
    et tout cela avec en plus le moyen d’obtenir une commission sur les ventes qui seront faites sur sa mailing list.

    #6013

    Jean-Paul
    Participant

    Fabrice : merci pour ces infos

    Concernant le contrat sur google doc, je suis obligé de cliquer sur le bouton demande d’accès car tu ne m as pas accordé cet accès apparemment, je viens donc de le faire et google dit qu’ils t ont envoyé un mail à cet effet (mon mail : jpcmailperso). Donc merci si tu peux libérer cet accès au document

    #6014

    Jean-Paul
    Participant

    Jean Louis, merci pour tes réponses et pour l’idée du statut de VDI. Quelles contraintes implique t il pour la personne qui le choisit ?

    #6015

    Fabrice Mouchain
    Participant

    Je t’ai accordé les accès à l’instant ;)

    #6016

    Jean-Louis Boissier
    Participant

    Bonsoir Jean Paul

    Le statut VDI est de loin le plus simple et il a deux avantages de taille ;

    - Toujours rattaché à la sécurité sociale (pas d’adhésion au RSI)
    - Te permet de générer jusqu’à 16 000 € par an (deux ans maximum) sans avoir besoin de passer Agent Commercial indépendant ou auto entrepreneur

    Si tu veux un exemple de contrat, envoie moi un mail à [email protected] pour que je te le communique

    Les Points bloquant en étant VDI :

    1. Tu ne peux que vendre à une clientèle particulière. Si tu souhaites vendre à des entreprises ton offre, cela t’oblige à passer directement en auto entrepreneur. Dans ce cas tu vas devoir t’inscrire au RSI et ne pas dépasser plus de 33 000 € de chiffre d’affaire HT par an sinon tu vas être fortement taxés.

    2. Si tu prends l’option VDI mandataire, je ne te le conseille pas car tu sauras en vente exclusive avec l’entreprise qui t’a fait le contrat. En revanche en étant VDI Acheteur Revendeur, tu peux là avoir plusieurs contrats VDI avec plusieurs entreprises différentes.

    Sinon aucune contrainte avec un statut VDI, pas d’obligation de volume de vente. L’entreprise avec qui tu es en contrat VDI ne peut rien t’imposer juste te demander de ne pas vendre son produit au delà d’un certain prix (mais là tu peux négocier). La seule contrainte mais tu l’auras pour n’importe quel statut, c’est que tu dois tenir un tableau de suivi des clients pour t’assurer que l’entreprise t’a bien payer sur chaque vente.

    Si tu veux consulter certains sites sur le sujet voici ceux que je te recommande :

    http://www.ventedirecte-vdi.com/statut_vdi.html

    http://lentreprise.lexpress.fr/prospection-commerciale/vente-a-domicile-tout-sur-le-statut-juridique-et-la-remuneration_13544.html

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